mercredi 31 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
Enfin la neige
mercredi 10 décembre 2008
"Les sports d'hiver de l'extrême" (suite)
dimanche 7 décembre 2008
"Les sports d'hiver de l'extrême"
"Les sportsd'hiver de l'extrême.
Vous avez sûrement entendu parler des sports extrêmes d’hiver devenus classiques, comme le surf des neiges, le saut à ski, le ski acrobatique et le skeleton. Mais il existe d’autres disciplines moins connues, créées par des amateurs d’émotions fortes, qui ne s’adressent pas à tous mais sont fascinantes. L’apparition du ski acrobatique et du surf des neiges aux Jeux olympiques d’hiver a entraîné un développement de ces disciplines : de plus en plus de jeunes s’y adonnent et le nombre de demandes pour des cours augmente.
L’escalade sur glace
Elle nécessite l’utilisation de crampons métalliques, fixés à des bottes pour une meilleure traction, de même que de piolets afin de gravir une formation glacée comme une montagne ou une chute d’eau. Alors que pour certains, la seule idée d’escalader une montagne glacée donne froid dans le dos, c’est précisément cette montée d’adrénaline (hauteur + danger + risque) que les sportifs extrêmes recherchent ici ! Imaginez-vous agrippé à une montagne de glace, avec les doigts rivés à un piolet, tandis que vos bottes à crampons piquent la glace : vous mesurez votre force en escaladant lentement une paroi verticale de glace, alors que les seuls sons que vous entendez sont le craquement de la glace et votre souffle. Au moment où vous touchez presque au but, vous ressentez une vraie bouffée d’exaltation… d’après les adeptes téméraires !
Le ski hors piste
Certains skieurs aiment découvrir un endroit intéressant avec l’objectif d’être les premiers à y laisser leurs traces alors que d’autres préfèrent s’aventurer sur des sentiers escar pés, en terrain boisé. D’autres possibilités s’offrent à vous pour atteindre le sommet d’une montagne :
Le ski de haute montagne demande une condition physique exceptionnelle, car il faut attacher les skis sur son dos et gravir lentement les pentes escarpées des montagnes avant de redescendre en ski en se frayant un chemin au milieu des arbres.
L’héliski : un hélicoptère fait office de remonte-pente en vous déposant à flanc de montagne. Certains skieurs très audacieux (et surtout bien entraînés) choisissent de sauter de l’hélicoptère et peuvent alors skier jusqu’à une altitude de 11 500 pieds dans des montagnes qui sont encore à l’état sauvage. Cette expérience, réalisée dans de parfaites conditions de sécurité, procure une montée d’adrénaline fabuleuse.
La voile sur glace
Elle nécessite un voilier particulier qui peut couper la glace, permettant ainsi de naviguer sur des masses d’eau glacée. Ces embarcations ont une dimension de 3,6 m de long, peuvent porter 5,6 m2 de voile et sont traditionnellement faites de bois.
Le surf sur glace
C’est un sport où l’on navigue sur une planche à roulettes modifiée appelée planche de surf sur glace : c’est en réalité un croisement entre une planche à neige et une planche à voile. (rmp)"
jeudi 27 novembre 2008
De retour
Plus d'infos sur : allocine.fr
Rien à voir, mais je te conseille également l'excellent docu de Benjamin Rassat "Quand Internet fait des bulles" diffusé sur la chaîne 13ème Rue en Juin 2007. Il traite de la naissance de l'Internet, son évolution jusqu'à l'explosion de la bulle spéculative engendrée. En deux parties de 52 minutes.
mercredi 26 novembre 2008
Kathmandu
Après un début de matinée hésitant, les nuages finissent par se déchirer permetant ainsi la mise en place d'un ballet incessant d'avions atterrissant et décollant à un rythme impressionnant. C'est qu'il y a du travail à rattrapper après la journée perdue d'hier.
10 heures : notre petit coucou de la compagnie Agni s'élancent enfin sur la rampe de lancement de l'aérodrôme de Lukla. Direction Katmandu. Derniers regards sur cette belle et haute vallée qui nous a accueilli durant deux semaines. Je me tords le cou pour parvenir à apercevoir par le hublot la caractéristique pyramide noire de l'Everest. La reverrai-je un jour ?
A peine 35 minutes plus tard, les faubourgs de KTM sont sous nos yeux. Population, polution, chaleur, bruit, bâtiments délabrés, misère... tout contraste avec la beauté et la quiètude de notre vallée à peine quittée. Le choc est difficile à encaisser. La transition est trop brutale pour se sentir de suite à l'aise dans cette cité extravagante. Le reste, Serge-André Lemaire, auteur de l'excellent site Zone Himalaya, le décrit bien mieux que moi. Je ne serais que te conseiller de prendre ton temps pour lire l'intégralité du récit de son trek au Khumbu. Voilà comment il décrit son premier contact avec Kathmandu :
"Des rues cahoteuses et poussiéreuses. De vieilles maisons délabrées avec terrasses sur les toits. Des petites échoppes ouvertes sur la rue où l'on entasse, vend, répare toutes sortes de choses. Des hommes, babouches de plage aux pieds, chargés comme des mulets, déambulant à petits pas. Des femmes en sari aux couleurs chaudes tâchant de se frayer un chemin sur la chaussée à travers vaches sacrées et tas de détritus."
"Les rues sont encombrées de motocyclettes, de scooters, de rickshaws et de vieilles automobiles. De gros camions aux couleurs flamboyantes, parés de dessins pittoresques, soulèvent sur leur passage, des nuages de poussière qui vont mourir au-dessus des étals de fruits et légumes. Une fresque absolument incroyable saturée de sons, de couleurs et de mouvement."
"Un concert de klaxons et de clochettes règle la circulation, puisqu'il n'y a, dans les quartiers que nous traversons, ni arrêt, ni feu de circulation. On dépasse à droite en klaxonnant. Vite on se dépêche de rentrer dans le rang, en klaxonnant. À croire que les véhicules sont propulsés au son du klaxon. C'est une cacophonie qui ne cesse que la nuit tombée."
Etc, etc. La suite sur http://www.zonehimalaya.net/ Zone Himalaya.
mardi 25 novembre 2008
Spéciale Lodges
Il existe deux façons de séjourner pour les trekkeurs dans la vallée : partir léger et profiter de l'accueil des très nombreux lodges et restaurants qui jalonnent le sentier qui joint Lukla au camp de base de l'Everest ; ou bien partir en autonomie complète avec tente et nourriture pour toute la durée du trek. Cette seconde possibilité demande une lourde logistique et du matériel adéquat. Elle convient davantage au grand groupe accompagné d'un ou plusieurs guides, de porteurs et de yaks, d'un cuisinier, etc... Mais elle a l'avantage d'éviter la foule et l'encombrement des lodges à la haute saison touristique (Octobre notamment). Elle est aussi plus authentique. Nous, nous avions opter pour la première solution, la plus facile et la plus confortable. Et hormis à Tengboche sur la route du retour, nous n'avons absolument pas, en cette fin Novembre, souffert de l'affluence touristique. Néanmoins, mieux vaut réserver ou bien arriver tôt dans la journée pour être sûr d'avoir une chambre, le nombre de lodge allant diminuant plus on prend de l'altitude.
Dans le bas de la vallée, l'offre en matière de logement ne manque pas. Ici, près de l'aérodrome de Lukla.
deux bat-flanc, un matelas, tout en bois du sol au lafond.
très belle salle commune.
Le nom est marqué sur le toit.
C'est à Dingboche 4360m.
Nous ne ferons que passer au hameau de Dugla vers 4600m où un seul vétuste lodge existe.
Pause thé bien sucré pour tout le monde.
Les barraquements de Gorak Shep à 51OOm environ.
Dernière halte avant le sommet du Kala Pathar.
Le camp de base de l'Everest n'est plus qu'à deux heures à peine.
Arrivée à Lobuche 4930m.
Nous dormirons deux bonnes nuits au Sherpa Lodge.
C'est à Namche Bazar 3440m que se concentrent les plus gros hôtels bâtis en arc de cercle autour et au dessus de l'esplanade centrale.
... contraste avec les trois ou quatre lodges vieillots et minuscules de Tengboche.
La chaleureuse salle commune avec l'incontournable